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l'étranger albert camus

Publié le 10/06/2022

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camus

« DM Français- Fiche de lecture de l’Etranger d’Albert Camus I) Une identité Le titre : Je pense que ce titre a été choisi car le personnage principal semble totalement étranger à l’histoire.

En effet, il ne montre quasiment pas ses émotions, à part à la fin avec son différend avec le prêtre.

Il semble dépassé par tout, sa mère meurt, il tue un homme, il est condamné à mort et rien ne semble l’affecter.

Il a l’air lasse et semble spectateur de sa propre vie. L’auteur : L’Etranger est paru en 1942, soit pendant la Seconde Guerre Mondiale. Albert Camus, l’auteur, est né le 7 novembre 1913 en Algérie et mort en France en 1960.

Il est, en plus d’être écrivain, philosophe.

L’Etranger est son premier roman et fait partie du Cycle de l’Absurde.

Dans cette œuvre, Albert Camus traite donc le sujet de l’absurde.

Ce roman se passe pendant l’Algérie coloniale, où Albert Camus a grandi.

Le fait que les arabes n’aient pas de nom montrerait à quel point ils passaient en second plan par rapport aux français tels que Meursault. Le genre : L’Etranger est un roman appartenant au registre de l’absurde. Résumé : Meursault, français vivant en Algérie, est un homme sans intérêt, totalement ordinaire, et le roman suit sa vie de l’annonce de la mort de sa mère à sa condamnation. II) Cinq mots Absurde, inhabituel, sec, angoissant, intéressant III) Une phrase « [Le soir, Marie est venue me chercher et m’a demandé si je voulais me marier avec elle.] J’ai dit que cela m’était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait ».

On peut, grâce à cette phrase, voir le détachement total du personnage face à des évènements importants. IV) Des sensations Pour moi, si ce livre était un objet, ce serait une bouteille de vin vide.

En effet, cet objet prend de la place, est inutile, pourtant on le garde quand même pour une raison que l’on ignore surement parce qu’elle a couté cher. Pour moi, si ce livre était une musique, ce serait de la musique expérimentale, car l’auteur a traité un sujet peu traité, c’était un peu comme une expérimentation.

On se pose beaucoup de questions en lisant le roman de même que l’on s’en pose en écoutant de la musique expérimentale. Pour moi, si ce livre était une forme, ce serait un rond.

En le lisant, j’avais un sentiment d’infini, qu’il n’allait jamais se finir, non pas parce que je ne l’appréciais pas, au contraire, mais j’ai ressenti cette sensation de manière très forte.. »

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